thriller

Synopsis : Un cadavre en morceaux artistiquement répartis est retrouvé aux environs de Paris. La victime a été décapitée et son corps martyrisé a fait l'objet d'une mise en scène défiant l'imagination. Le commissaire Franck Sharko est dépêché sur les lieux. Les ténèbres, il connaît : sa femme a disparu depuis six mois. Aucun signe de vie, aucune demande de rançon. Et cette nouvelle affaire, en réveillant le flic qui dormait en lui, va l'emmener au cœur de la nuit, loin, beaucoup trop loin...

Mon Avis : Ah cet auteur, si tu savais ce que je l'aime !!!! Je l'ai lu il a très longtemps mais j'ai décidé de tout relire et lire de lui....car c'est l'un de mes auteurs chouchous que j'aime d'amour.....c'est pour moi une valeur sûre, tu sais cet auteur que tu lis et où tu es sûre que tu passeras un bon moment. C'est exactement ce que je ressens avec Franck Thilliez.

Je tiens à prévenir que si vous n'aimez pas les choses gore, trash avec de l'hémoglobine et des pics de boucher, passez votre chemin car ici on est dans le gore, dans les milieux BDSM....donc je vous laisse imaginer ce qui peut se passer.

Le personnage de Sharko me fascine, ce flic un peu borderline, un peu paumé dont la femme a disparu depuis plusieurs mois....et petit à petit tout va se mettre en place, tout va s'imbriquer, l'enquête, le disparition de la femme de Sharko, et surtout pourquoi Train d'enfer pour ange rouge....Le titre est drôlement bien trouvé quand on connaît le pourquoi du comment.

Je ne vais pas émettre un avis très long car c'est un premier tome, enfin un second, si l'on compte 1991, mais je vous invite vraiment à découvrir les thrillers de Franck Thilliez car c'est toujours très recherché et très bien écrit.

Synopsis : Son cadavre est remonté, comme celui d'autres femmes, à la surface de l'eau. Six au total... Là-bas, dans les forêts du New Hampshire, le lieu maudit porte un nom : le lac aux suicidées.

Clara Miller était journaliste. Comme Paul Green, le reporter du Globe qui débarque sur l'affaire. Il avait connu Clara étudiante, et ne croit pas un instant à la thèse du suicide.

Un homme l'intrigue : Mike Stilth, l'immense rock star retranchée à quelques kilomètres de là, à Lost Lakes, dans un manoir transformé en forteresse.

L'artiste y vit entouré d'une poignée de fidèles, dont Joan Harlow, redoutable attachée de presse qui veille sur son intimité et se bat comme une lionne dès que l'empire Stilth est attaqué.

Mais Paul, lui, a tout son temps. Dans sa vieille Ford déglinguée, il tourne inlassablement autour du domaine. Avec cette question : et si, du manoir, la route menait directement au lac ?

Mon Avis : Ce livre a été une torture tout le long de ma lecture, j'ai failli abandonner à plusieurs reprises mais je voulais connaître le fin mot de ce thriller mais peut-être aurais-je dû vraiment l'abandonner tant ça a été mauvais pour moi.

C'est simple je n'ai rien aimé du tout : ni l'histoire, ni les personnages, ni le style de l'auteur, ni le dénouement final bref tout n'a été que déception, ennui, soufflements et haussement de sourcils.

C'est long, c'est brouillon, ça part dans tous les sens sans que cela ai vraiment de sens.....on navigue entre plusieurs personnages mais pour moi, c'est mal construit, je me perdais dans ma lecture et quel ennui !!!! Cela résume bien ma pensée pour ce roman : ennui !!!!!

Et j'ai eu la sensation qu'il fallait faire dans l'époustouflant, dans le "je vais t'en mettre plein la vue" avec des rebondissements à gogo, des histoires de drogue, des rebondissements, des histoires de drogue, des histoires de sexe.....pfffff ça n'a pas matché avec moi.....on va en rester là avec cet auteur....inutile que j'aille me torturer inutilement.

Synopsis : Pour Dana, jeune femme issue d’un milieu modeste, Basil Paternoster a tout du compagnon idéal : séduisant, éloquent et de bonne famille. Mais lorsque vient la rencontre avec les beaux-parents, dans leur vaste propriété de campagne lors d’un été caniculaire, les choses s’engagent mal. Ballottée entre les apéritifs qui n’en finissent pas, les traditions qui lui sont étrangères, et les échos de sombres secrets de famille, Dana doute. A-t-elle vraiment envie de faire partie de ce clan ?
Alors que ses idéaux se brisent et que la réalité la rattrape, c’est tout son équilibre qui chavire. Et si le bonheur n’était qu’un piège bien cruel ?
Avec Paternoster, Julia Richard nous offre un page-turner choc et révoltant, porté par un message profondément féministe. Une vision terrible et percutante des sacrifices que font les femmes pour obéir aux normes de réussite sociale dans cette société impitoyable qui est la nôtre.

Mon Avis : Mettons de suite les choses au clair, si ce livre a été une lecture moyenne c'est uniquement de mon fait et non pas à cause du style de l'autrice ou de l'histoire en elle-même. C'est uniquement moi qui n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire.

Cela ne m'a pas tout simplement pas plu, j'ai souffert durant cette lecture et j'ai failli plusieurs fois abandonner tant j'étais dans une souffrance à lire.....ça n'a été, pour moi, que synonyme de dégradation de l'être humain, de rabaissement et de violences physiques et verbales.

De ce fait, je me suis sentie mal durant tout le récit...et je n'ai pas été convaincue par l'histoire....c'était trop brut, trop incisif et ça ne m'a pas embarquée. C'était long et ennuyeux et à aucun moment je n'ai pris de plaisir avec cette lecture.

Et je n'ai pas compris la fin, donc ça a été une erreur de lecture. Je ne retenterais pas avec cette autrice car je pense que ses romans ne sont tout simplement pas faits pour ma sensibilité et ce que je reche

rche dans un roman.

Synopsis : Cinq frères et sœurs se réunissent dans la maison de leur enfance, la Casa Belasko, une imposante bâtisse isolée au cœur d’un domaine viticole au sud de de la France.

Leur père, vigneron taiseux, vient de mourir. Il n’a laissé qu’une lettre à ses enfants, dans laquelle sont dévoilés nombre de secrets.

Le plus terrible de tous, sans doute : leur mère ne se serait pas suicidée – comme l’avaient affirmé les médecins six mois plus tôt. Elle aurait été assassinée…

Au cours de cette nuit fatale, les esprits s’échauffent. Colères, rancunes et jalousies s’invitent à table. Mais le pire reste à venir. D’autant que la maison – coupée du monde – semble douée de sa propre volonté.

Quand, au petit matin, les portes de la Casa se rouvriront, un membre de la fratrie sera-t-il encore en vie pour expliquer la tragédie ?

Mon Avis : Le synopsis m'intéressait énormément....une maison, des secrets, de la colère, une maison bizarre....la recette ne pouvait que me plaire et elle m'a plu.

Jusqu'au 3/4 du livre, j'étais hyper captivée par l'histoire et l'écriture de l'autrice : une plume simple, un roman bien écrit, une histoire captivante, des histoires entre frères et sœurs, des parents assez étranges, des secrets....j'avalais les pages à un rythme effréné tant j'étais bien dans cette lecture. Un interrogatoire par un commissaire de police, je me demandais lequel des enfants racontait son histoire.

Puis cette maison considérée comme une personne à part entière, cette maison qui me faisait peur mais qui m'intriguait tellement que je ne pouvais m'arrêter de lire. J'étais vraiment captivée, je me disais que le coup de cœur pouvait potentiellement venir ou au moins la très bonne lecture.

Mais le dernier quart du livre a eu raison de mon engouement, j'ai tout simplement détesté la fin....que j'ai trouvé tiré par les cheveux, remplie d'invraisemblance et je me suis perdue. Je me suis dis : "tout ça pour ça", mais quelle déception. Cela a été une fin alambiquée et qui n'a ni queue ni tête. Bref, un bon livre mais avec (selon moi) une mauvaise fin. Je ne ferme en aucun cas la porte à cette autrice car L'art du meurtre me tente énormément.

Synopsis : Maman disait de moi que j'étais un ange.
Un ange tombé du ciel.
Mais les anges qui tombent ne se relèvent jamais...
Je connais l’enfer dans ses moindres recoins.
Je pourrais le dessiner les yeux fermés.
Je pourrais en parler pendant des heures.
Si seulement j’avais quelqu’un à qui parler…

Tama est une esclave. Elle n’a quasiment connu que la servitude. Prisonnière de bourreaux qui ignorent la pitié, elle sait pourtant rêver, aimer, espérer. Une rencontre va peut-être changer son destin…

Frapper, toujours plus fort.
Les détruire, les uns après les autres.
Les tuer tous, jusqu’au dernier.

Gabriel est un homme qui vit à l’écart du monde, avec pour seule compagnie ses démons et ses profondes meurtrissures.
Un homme dangereux.
Un matin, il découvre une inconnue qui a trouvé refuge chez lui. Une jeune femme blessée et amnésique.
Qui est-elle ? D’où vient-elle ?

Rappelle-toi qui tu es. Rappelle-toi, vite !
Parce que bientôt, tu seras morte.

Mon Avis : Cela fait quelques jours que j'ai terminé ce thriller et je me demande encore si c'est un coup de cœur ou juste ou une très bonne lecture et je ne sais toujours pas y répondre mais je sais que j'y pense encore et que j'ai pris une telle claque que ce bouquin m'a pas mal retournée.

C'est une découverte de Karin Giebel et j'avoue que cette autrice me faisait peur car j'ai lu beaucoup de bon comme du moins bon sur cette autrice : son style, ses histoires mais je voulais me forger ma propre opinion et j'avoue qu'avec ce roman-ci je n'ai pas été déçue.

Par contre je tiens à prévenir de suite que l'on atteint des niveaux de violence qui atteignent des sommets. Des thrillers j'en ai lu pas mal mais je ne sais pas si j'ai déjà lu avec de tels niveaux de violences physiques, verbales, sexuelles et même des scènes de viol. On voit l'horreur dans toute sa splendeur et c'est souvent décrit de façon assez explicite donc si vous n'aimez pas cela, évitez de le lire. Car parfois j'ai eu le cœur tout retourné et chamboulé et c'était difficile à lire.

Je ne vais pas vous refaire le pitch de l'histoire mais ce livre traite d'esclavagisme moderne où des jeunes filles, pour la plupart, sont employées dans des maisons et doivent se plier à faire toutes les corvées, en étant traitées pire que des chiens et sans toucher le moindre salaire. Et donc pour cela, on suit l'histoire de Tama mais pas que....mais je vous laisse le découvrir.

Il y a beaucoup de personnages masculins dans ce roman qui sont pour la plupart des êtres sans cœur tout juste bons à cogner, violer et donner des ordres donc par moment ça a été vraiment difficile....Par contre j'ai eu le cœur déchiré par la fin, je m'y attendais pas du tout.

Vraiment je vous invite à le lire, si tout ce qui est énuméré, ne vous effraie pas. Allez-y c'est un vrai page turner hyper difficile à lâcher.

Synopsis : « L’heure de la punition avait sonné. La porte de sa prison s’ouvrirait bientôt, révélant ses pires craintes. »

Une fillette est trouvée morte dans le coffre d’une automobile. Le père, accusé de maltraitance par son épouse, est soupçonné du crime. Très vite, la commandante Laroche, qui dirige l’enquête, réalise que l’affaire est loin d’être simple. Surtout lorsque l’avocate Pauline Carrel se saisit du dossier. Un quête de la vérité qui va confronter les enquêteurs aux tabous les plus redoutés.

Mon Avis : Première découverte de Pétronille Rostagnat avec ce thriller et j'avoue que j'ai bien aimé. Mais juste bien aimé, je n'ai pas été emballée même si ça reste plus que correct et bien écrit.

Mais car oui il y a un mais, j'ai trouvé que par moment c'était un peu long et que de ce fait, je souffrais de moments d'ennui car j'avais un peu l'impression qu'on tournait en rond dans la psychologie de chaque personnage.

Par contre, j'ai beaucoup apprécié la personnalité de la commandante Laroche. J'ai trouvé qu'elle avait une chouette personnalité et le couple qu'elle forme avec son mari, avocat, m'a beaucoup plu. Je pense qu'on la retrouve dans d'autres romans de l'autrice et donc je les lirais avec plaisir.

Mais voilà les quelques longueurs ne me donnaient pas forcément l'envie d'y revenir, même si j'ai apprécié le fond de l'histoire sur fond de violences intra-familiales commises par une femme. C'est assez rare donc ça mérite d'être souligné. Et malheureusement je n'ai pas aimé la fin de ce thriller qui m'a déstabilisée et qui m'a causée une certaine perplexité face à la teneur des événements.

Ce n'est pas une mauvaise rencontre avec cette autrice mais juste un rendez-vous décalé. Je lirais d'autres de ses romans car pour moi, il doit y avoir pas mal de potentiel dans les autres de ses romans et je suis sûre d'y trouver un roman qui matchera plus avec moi.

Synopsis : Lorsque vous lâchez la main de votre enfant, êtes-vous certain de pouvoir la serrer de nouveau un jour ?

Quatre ans après la disparition de leur fille Clémentine dans le naufrage d’un voilier, Sarah et Marc sont rongés par la culpabilité et la tristesse.

Jusqu’à ce que de nouvelles voisines emménagent sur le même palier avec leur enfant, Gabrielle, dont la ressemblance avec Clémentine est troublante. Au contact de cette adolescente vive et enjouée, Sarah reprend peu à peu goût à la vie.

Mais lorsque le destin de Gabrielle bascule dans l’indicible, les démons que Sarah avait cru pouvoir retenir se déchaînent une seconde fois.

Prends ma main, mon cœur. Ne la lâche pas, quoi qu’il arrive. Serre-la fort !

Mon Avis : Première découverte de cet auteur et ce fût une très bonne découverte. Je m'attendais à un roman percutant, je l'ai eu.

Le style d'écriture est très bon, c'est bien écrit avec une tension qui est montée crescendo tout au long du roman, ce qui a fait que cela m'a beaucoup plu.

J'avais énormément de mal à lâcher le roman car j'avais envie de savoir ce qui allait se passer et j'émettais des tonnes d'hypothèses dans ma tête toutes plus fausses les unes que les autres. En me disant :"ah, mais c'est lui, le coupable ou elle", "ah mais non ce n'est pas possible, c'est elle" !!!!!

J'ai vraiment vu chaque personne comme un coupable potentiel, j'avais des doutes sur l'un des personnages féminins mais après j'ai douté.....jusqu'au moment où j'ai compris que mes doutes étaient fondés, que le personnage que je visais depuis le départ était bien la coupable.....Du coup ça m'a laissé une sensation dérangeante car j'avais deviné qui tirait les ficelles et je n'aime pas cela car du coup, même si j'ai aimé, comme j'ai deviné, c'est une lecture en demie-teinte.

Sinon le style est très bon, l'histoire addictive. Je tenterais d'autres livres de cet auteur car j'ai vraiment passé un très bon moment de lecture et que ce sont des histoires (en tout cas pour celle-ci) qui tiennent la route.

Synopsis : Vous l’aimez plus que tout au monde.
Vous lui faites aveuglément confiance.
Vous ne rêvez que d’une chose :
fonder une famille ensemble.
Mais rien ne se passe comme prévu.

JUSQU’OÙ IRIEZ-VOUS POUR ÉVITER DE TOUT PERDRE ?

Une histoire racontée à rebours, car il n’y a qu’en démêlant les fils du passé que l’on peut comprendre le présent.

Mon Avis : Ce livre a été déconcertant pour moi car on commence par la fin et on remonte le fil de l'histoire ce qui m'a quelque peu troublée mais ça a été rapidement oublié.

Déjà, il est classé en thriller ça n'en est absolument pas un, c'est sombre par moment mais on est uniquement sur une lecture contemporaine. L'écriture de l'autrice m'a encore une fois transportée, j'aime son style d'écriture fluide et addictif car oui, pour moi, l'écriture d'Amélie Antoine est addictive, on a envie de savoir ce qui va se passer ensuite.

Concernant les thématiques abordées, j'ai été touchée car j'ai compris ce que vivait l'héroïne, je ne rentrerais pas dans les détails de mon histoire mais ça m'a touchée et ça a ravivé quelques souvenirs un peu douloureux pour ma part. Donc ce qui explique ma note de 15.

J'ai nettement préféré Raisons obscures et Pourquoi tu pleures ? Mais celui-ci reste néanmoins très bien et si les sujets en rapport avec la maternité ne ravivent pas des choses trop douloureuses, alors lisez-le !!!!

1.    Toutes blessent la dernière tue, de Karine Giébel
2.    Meurtres pour rédemption, de Karine Giébel
3.    Entre deux mondes, d'Olivier Norek
4.    Le Manufacturier, de Mattias Köping
5.    Saga - Victor Coste, d'Olivier Norek
6.    Saga - Bourbon kid, d'Anonyme
7.    Hercule Poirot quitte la scène, d'Agatha Christie
8.    Saga - La trilogie du mal, de Maxime Chattam
9.    Mamie Luger, de Benoit Philippon
10.    Saga - Les détectives du Yorkshire, de Julia Chapman
11.    Mon ombre assassine, d'Estelle Tharreau
12.    Vindicta, de Cédric Sire
13.    Verity, de Colleen Hoover
14.    J'irai tuer pour vous, d'Henri Loevenbruck
15.    Le mal dans la peau, de Mia Sheridan
16.    Dix petits nègres / Ils étaient dix, d'Agatha Christie
17.    Univers* - Franck Sharko & Lucie Hennebelle, de Franck Thilliez
18.    Le cheptel, de Céline Denjean
19.    Les refuges, de Jérôme Loubry
20.    Le Tueur intime, de Claire Favan
   
Jokers   
1.    Saga - Inheritance Games, Lynn Barnes
2.    Saga - Sérum, d'Henri Loevenbruck et Fabrice Mazza
3.    L'Affaire Alaska Sanders, de Joël Dicker
4.    Alabama 1963, de Ludovic Manchette et Christian Niemiec
5.    J'agonise fort bien, merci, d'Oren Miller

Synopsis : « Vous êtes sur le répondeur de Maxime, laissez-moi un message ! » Pour la dixième fois, la centième fois, je raccroche. Je laisse passer une poignée de secondes, et puis je rappelle. Encore. J’erre chez nous, je tourne comme un lion en cage.Il est 3 heures du matin. Mon mari s’est volatilisé en pleine nuit. La chambre de mon bébé est vide. Vide.---Un roman noir aux allures de thriller qui sonde les abysses les plus profonds de l'âme humaine. Peut-on jamais vraiment connaître les personnes qui partagent notre vie ?

Mon Avis : J'ai terminé ce livre il y a quelques jours et je me pose la question si ce livre est un coup de cœur ou juste une très bonne lecture et oui c'est officiellement un coup de cœur, une vraie bonne lecture que je n'attendais absolument pas.
Je me doutais que j'allais aimer, j'avais adoré Raisons Obscures mais je ne m'attendais pas à prendre une telle claque. Ça a été une lecture hyper addictive et je me suis laissée balader tout le temps. Je n'ai rien vu venir, Amélie Antoine m'a emmenée dans son univers bien sombre, bien triste mais tellement sombre et prenant.
Je n'ai pas les mots face à une telle beauté d'écriture ni face à une telle noirceur de cette histoire qui a touchée mon cœur de femme et de maman.
Merci Amélie pour vos mots et vos histoires tellement prenantes.